Les femmes de ce village d’Anatolie centrale ont travaillé – avec beaucoup d’enthousiasme – sur ces dessins. Le défi : jusqu’à présent, elles n’avaient tissé que des kilims traditionnels qui ne connaissaient pas de courbes. Les projets de KM s’orientent certes sur l’orientation horizontale imposée par la technique, mais prévoyaient de nouvelles formes, y compris des courbes. Dans la hutte de chaque famille se trouve au moins un de ces métiers à tisser. Il est entretenu et construit selon des instructions transmises de génération en génération.
Les chiffres sur le bord désignent les couleurs de la laine. La taille est déterminée par la largeur du métier à tisser.